Les fluides vitaux ou l'énergie vitale
Je souhaite partager avec vous une découverte d'une grande importance que j'ai réalisé ces dernieres années. Découverte pour moi seul puisque la chose est connue par les esprits éclairés depuis la nuit des temps....
Il s'agit de l'énergie Qi qui est contenue dans les fluides sexuels et qui est consomée lors de tout rapport sexuel.
En effet, dans notre monde d'ignorance, il est de bon ton de considérer la sexualité comme un loisir essentiel au bien être de la vie de chacun. La sexualité est au centre de tout, et j'ai put lire d'ailleurs que nous vivons dans une société libidineuse, fondée sur la pulsion sexuelle à tous les niveaux.
La sexualité récréative est un vice pur et simple, et j'ai conscience de faire partie d'une infime portion de gens en disant cela.Cela sonne peut être étrangement à vos oreilles, mais ne partez pas de suite,lisez d'abord ce qui suit!
Le but de la sexualité est la procréation, et c'est pourquoi cette pulsion est puissante, car elle constitue l'expression de notre énergie de vie. Cependant, l'acte sexuel visant à la procréation, il ne saurait être répété trop souvent sous peine de porter un grave préjudice à celui qui le pratique.
Car l'homme comme la femme perdent de l'énergie, mais il apparait clairement que l'homme perd une semence à chaque rapport alors que la femme perd son oeuf de maniere mensuelle.
N'étant pas une femme je ne peux savoir comment se déroule les choses au niveau de l'énergie.
Ceci étant je ne condamne absolument personne quelle que soit sa vie ou ses choix.Je me permets juste d'affirmer sans détour que le sperme est un liquide hautement riche énergétiquement qui permet de donner la vie, et que perdre sa semence est toujours sans exception une grande perte d'énergie.
C'est pourquoi l'accumulation de l'énergie par l'abstinence est toujours très forte et est pratiquée par tous les sportifs dignes de ce nom avant toute compétition.
Cette énergie est nécéssaire pour tout évolution spirituelle sérieuse.

J'ai retrouvé un extrait de "La vie des maitres" de Baird Tomas Spalding que je me permets de publier, car il parle de ce sujet précis.
Bien sur ceci est publié à des fins privées et non commerciales, de plus s'agissant d'un extrait de 2 pages je pense respecter le droit d'auteur.
En cas de problèmes par rapport à cet extrait n'hésitez pas à me contacter je peux toujours le retirer.

 

""Je perçois maintenant la réalité et je

sais que j’étais perdu dans le brouillard de l’illusion. Le

temps et l’espace ont complètement disparu. Je sais que je

vis dans le monde subjectif, et que celui-ci appartient au

monde objectif. Si j’avais pu m’accrocher aux suggestions et

aux éclairs que j’ai perçus de temps à autre grâce à mes sens

subtils, que d’heures d’anxiété et de fatigue ne me serais-je

pas épargnées.

Pendant ma jeunesse, j’ai imité la majeure partie de

l’humanité. Je n’ai cru qu’à une seule vie, celle de la

jouissance personnelle dans tous les domaines. Je décidai

donc d’en tirer le meilleur parti. Je fis de l’égoïsme le but

principal de ma vie. Je déchaînai toutes les passions

animales, dissipant ainsi tous les fluides vitaux jusqu’à faire

de mon corps la coquille vide que vous avez d’abord connue.

Permettez-moi de former une image illustrant ma pensée.

Chander Sen resta silencieux un moment. Bientôt

apparut sur un des murs de la pièce une image semblable à

celles déjà décrites. C’était son propre portrait à l’époque où

nous fîmes sa connaissance, l’image d’un vieil homme

trottinant, appuyé sur son bâton. Suivit une autre image à la

ressemblance de l’homme de ce matin.

Chander Sen continua : La première image représente

l’homme qui a dissipé les énergies et les fluides vitaux de

son corps jusqu’à ne laisser subsister que la coquille vide.

L’autre représente celui qui a conservé ses énergies et ses

fluides vitaux à l’intérieur de son corps. Dans mon cas, vous

estimez qu’il y a eu, un rajeunissement complet et presque

instantané, ce qui est vrai. Mais je vois la chose sous un

autre angle. Combien de gens pourraient avoir la même

chance que moi et recevoir l’aide, la sympathie, et

l’assistance ces chères grandes âmes ?

 

 

Pour plus de clarté, considérons la durée d’une vie

humaine depuis la naissance jusqu’à la fin que tant de gens

appellent la mort. L’enfant naît. Il n’a pas conscience des

fluides qui apportent la vie et circulent à travers son corps.

Les organes qui engendreront plus tard les fluides vitaux

soumis au contrôle de la volonté ne sont pas encore

développés. À ce stade, si l’enfant est normal, il est superbe

et bouillonnant de vie. Les fluides vitaux se renforcent de

plus en plus jusqu’au stade de développement où l’enfant en

devient conscient et peut les dissiper. Si cette dissipation a

lieu, l’enfant montre des signes de vieillissement. Au bout de

quelques années, le cerveau de l’adulte perd le pouvoir de

coordonner les mouvements, et le corps pareil à celui d’un

vieillard décrépit. Seule subsiste la coquille vide de la

personnalité primitive.

Comparez avec l’homme qui a conservé ses fluides vitaux

en les faisant circuler normalement à travers son corps.

Voyez comme il est fort et vigoureux. Peut-être n’entrevoit-il

pas un idéal plus élevé que celui de naître, vivre un court

espace de temps sur cette terre, et ensuite trépasser. Mais

alors, et pourvu qu’il conserve ses fluides vitaux, sa vie sera

trois ou quatre fois plus longue que celle du dissipateur.

Mais peut-être aussi perçoit-il que le plan de Dieu le destine

à une plus haute mission. Alors dès qu’il aura découvert que

ses fluides vitaux sont un élément nécessaire de son

développement parfait, il les conservera constamment dans

son corps.

Il n’y a pas bien longtemps que nos savants connaissent

le réseau délicat d’artères et de veines composant le système

circulatoire. Il leur reste à démontrer qu’il existe un système

circulatoire infiniment plus délicat et plus subtil apportant

la force vitale à chaque atome du corps. À travers le système

nerveux, la force vitale est dirigée sur un groupe de cellules

cérébrales qui agissent à leur tour comme distributrices et

la renvoient vers tous les atomes du corps pour lesquels elle

a de l’affinité. Cette force vitale se transmet le long des nerfs

et agit comme protectrice des nerfs. Si on la dissipe, les

cellules se stabilisent et ne peuvent plus être remplacées par

les nouvelles cellules de substitution qui se forment

continuellement.

Les jeunes cellules sont refoulées cependant que les

vieilles se décomposent progressivement et meurent.

Au contraire, quand toute la force vitale est conservée,

les cellules se renouvellent aussi facilement à cinq cents ans

 

qu’à dix. Alors le corps peut se charger de vie au point de

pouvoir insuffler la parole de vie à toutes les formes. On

peut peindre une image, modeler une statue, ou

entreprendre un travail manuel quelconque exprimant un

idéal, puis insuffler à l’objet le souffle de vie et le rendre

vivant. L’objet vous parlera et parlera à tous ceux qui

peuvent voir l’inspiration vitale que vous lui avez insufflée.

Il sera actif parce que le Seigneur Dieu en vous a parlé, et

qu’il est fait selon sa volonté.

Mais ces formes ne prendront pas l’aspect humain, à

moins qu’on ne les élève jusqu’à la vie divine. Si on leur

donne la vie, il faut les soutenir jusqu’au bout et les amener

à la pure vie divine. Alors ce sont des formes parfaites

comme vous-mêmes. Votre responsabilité tombe, et vous

découvrez que ceci constitue le vrai génie.

Je voudrais cependant vous signaler une erreur

fondamentale. Quand une personnalité de génie a commencé

à se développer, elle possède consciemment ou non la faculté

de conserver les courants vitaux à l’état de pureté et de les

faire circuler par leurs chenaux naturels. Son corps et ses

facultés créatrices sont animés en conséquence. L’homme de

génie sait qu’il a pour mission d’exprimer quelque chose qui

dépasse l’ordinaire. Tant qu’il conserve ses forces vitales en

leur laissant la bride sur le cou, il vogue de réussite en

réussite.

Mais s’il laisse des idées de luxure s’insinuer en lui, il

perd rapidement son pouvoir créateur. Sous l’influence des

forces vitales initiales, les cellules constitutives de son corps

ont acquis une texture plus fine que les cellules ordinaires.

À ce moment, l’homme de génie a atteint la renommée.

N’ayant pas développé sa perception plus profonde du

pouvoir de Dieu, il se laisse emporter par l’orgueil de sa

gloire. Il abandonne sa lumière directrice faute d’avoir été

entièrement éclairé. Son besoin d’une excitation plus grande

l’incite à dissiper ses forces vitales, et il perd bientôt tout

pouvoir. En effet, si l’homme a d’abord dominé ses passions

animales au point de conférer à son corps une texture plus

fine, son recul dans la chute est bien plus rapide que s’il

n’avait pas été éveillé du tout.
("...")

 

Si les hommes pouvaient comprendre que ce fluide

contient une énergie infiniment supérieure à celle du sang

pur, ils le conserveraient au lieu de le dissiper. Mais ils

ferment les yeux à ce fait. Ils continuent à vivre soit dans

l’aveuglement, soit dans l’ignorance, jusqu’au moment où le

Moissonneur arrive. Alors éclatent les lamentations, car le

Moissonneur n’est pas satisfait de la récolte. Vous vénérez la

vieillesse et vous considérez les cheveux blancs comme une

couronne d’honneur, ce dont je ne voudrais pas vous

dissuader. Mais veuillez bien approfondir. Je vous laisse le

soin de décider lequel est plus digne d’honneur : l’homme

aux boucles blanches comme neige qui a provoqué sa propre

décrépitude par ignorance sinon par véritable perversité, ou

celui dont la vitalité s’accuse avec la maturité, qui devient

plus fort et mieux équipé pour faire face au grand âge, et

fait croître en conséquence sa bonté et sa générosité. Je

confesse qu’il faut avoir pitié de l’homme qui arrive à la

mort par ignorance. Mais que dire de celui qui aboutit au

même résultat en connaissant la vérité ?"
 
 



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